Alors, on choisit?
A l'école l'année passée, j'ai étudié un tas de trucs. Particulièrement en digital, je vous dirai. Mais une fois que les neurones ont été activés dans une partie de mon cerveau, ça a résonné de l'autre côté aussi. Quelques mois après, me voilà avec un concept à vous expliquer. Certes un peu tiré par les cheveux, mais qui n'aime pas ça?
Alors dans le monde de la conception numérique de maquette, on travaille par taille d'écran. Soit on conçoit pour un grand écran et on adapte le contenu pour un plus petit; ça s'appelle de la dégradation élégante. Soit on pense en terme de taille de téléphone et on agrandit pour la taille d'ordinateur, dans ce cas, on parle d'amélioration progressive.
Ces deux méthodes ont un même but, rendre le contenu accessible au plus grand nombre d'utilisateurs. Pour la personne qui conçoit l'architecture de l'information, il faut penser différemment dans un cas comme dans l'autre. Ou va aller l'attention du lecteur lorsque celui-ci utilise le média sur un iphone? Ou celui-ci cherchera telle information sur son ordinateur? Les deux approches sont très distinctes tant dans leur ergonomie que dans leurs buts.
Trêve d'explications. Ce n'est pas là que je veux en venir.
Mais réfléchissons à ces deux termes, dégradation élégante et amélioration progressive. J'adore l'association de ces adjectifs avec ces deux termes. L'un image le fait de progresser du plus petit au plus grand, alors que l'autre parle de diminuer les possibilités du plus grand au plus petit. Si ce n'est pas une question de vocabulaire. Si ce n'est pas une question de perspective.
Et dans ces vocables d'amélioration, de régression, il y a les concepts d'âge et de maturité qui se cachent. N'est-ce pas? Vous l'avez vu aussi?
L'année passée en classe de UX (user experience), je me dis ça. Je vais concevoir ma vie en format "amélioration progressive". Faire en sorte que chaque année devient une fonctionnalité de plus, qui touche à toujours remplir une fonction de plus.
Se dire que les années passent et que ma taille d'écran s'agrandit. Que je connais toujours plus les besoins des utilisateurs et qu'ainsi je peux adapter au mieux mon modèle d'exploitation. Afin de tendre vers une perpétuelle amélioration. Je vais travailler afin que mon modèle de logiciel 1990 soit toujours d'actualité dans des dizaines d'années. Que je ne vois pas une régression de mes possibilités mais un meilleur ajustement aux situations.
Manque le terme élégance qui m'est chère. Mais celui-là, je le porterai sur moi tel un étendard de féminité acceptée.
Alors dans le monde de la conception numérique de maquette, on travaille par taille d'écran. Soit on conçoit pour un grand écran et on adapte le contenu pour un plus petit; ça s'appelle de la dégradation élégante. Soit on pense en terme de taille de téléphone et on agrandit pour la taille d'ordinateur, dans ce cas, on parle d'amélioration progressive.
Ces deux méthodes ont un même but, rendre le contenu accessible au plus grand nombre d'utilisateurs. Pour la personne qui conçoit l'architecture de l'information, il faut penser différemment dans un cas comme dans l'autre. Ou va aller l'attention du lecteur lorsque celui-ci utilise le média sur un iphone? Ou celui-ci cherchera telle information sur son ordinateur? Les deux approches sont très distinctes tant dans leur ergonomie que dans leurs buts.
Trêve d'explications. Ce n'est pas là que je veux en venir.
Mais réfléchissons à ces deux termes, dégradation élégante et amélioration progressive. J'adore l'association de ces adjectifs avec ces deux termes. L'un image le fait de progresser du plus petit au plus grand, alors que l'autre parle de diminuer les possibilités du plus grand au plus petit. Si ce n'est pas une question de vocabulaire. Si ce n'est pas une question de perspective.
Et dans ces vocables d'amélioration, de régression, il y a les concepts d'âge et de maturité qui se cachent. N'est-ce pas? Vous l'avez vu aussi?
L'année passée en classe de UX (user experience), je me dis ça. Je vais concevoir ma vie en format "amélioration progressive". Faire en sorte que chaque année devient une fonctionnalité de plus, qui touche à toujours remplir une fonction de plus.
Se dire que les années passent et que ma taille d'écran s'agrandit. Que je connais toujours plus les besoins des utilisateurs et qu'ainsi je peux adapter au mieux mon modèle d'exploitation. Afin de tendre vers une perpétuelle amélioration. Je vais travailler afin que mon modèle de logiciel 1990 soit toujours d'actualité dans des dizaines d'années. Que je ne vois pas une régression de mes possibilités mais un meilleur ajustement aux situations.
Manque le terme élégance qui m'est chère. Mais celui-là, je le porterai sur moi tel un étendard de féminité acceptée.
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